La bande dessinée peut-elle
permettre de mettre en relief les ressorts cachés de l'injustice qui pèsent sur
les Palestiniens?
Chers francophones de la planète entière. Cet espace collaboratif, en cours d'élaboration, prolonge l'émission radiophonique, Gaza parle français, diffusée sur la radio éducative sur 102.1 FM, en vous invitant à débattre dans la foulée des interviews, disponibles au téléchargement. Ce blog vise aussi à mettre en valeur les activités des écoles enseignant le français et à proposer des ressources dans le cadre de l'enseignement/apprentissage du français.
Merci pour tous les solidaires avec la cause palestinienne et qui suivent différentes méthodes pour découvrir la réalité au monde.
RépondreSupprimerPour la bonde dessinée je vois qu'elle est bonne manière pour décrire la situation en Palestine car elle réflexe la réalité par une façon simple et facile .
Il n'y a qu'une façon d'être solidaires pour les internationaux avec les patriotes palestiniens, c'est de les aider à faire prendre conscience aux vecteurs d'opinions et de décisions de leurs pays respectifs l que le droit des Palestiniens a un état souverain démocratique et non confessionnel de la Méditerranée au Jourdain pour le moins est non seulement éthique, mais imprescriptible SI LES PALESTINIENS PATRIOTES LE VEULENT DANS LEUR GRANDE MAJORITE, car ce n'est évidemment pas aux solidaires internationaux à décider pour les Palestiniens patriotes que je distingue bien des méprisables Palestiniens collabos qui s’enrichissent sur les malheurs de leur peuple
RépondreSupprimerIl est très dommage de ne pas avoir posé à Marie-Jo, pour bien comprendre la portée de son action en soi admirable, ces deux questions plus essentielles que tout autre :
1/ Que pensez-vous de la valeur juridique de la résolution 181 du 29 novembre 1947 à l'Onu, et en particulier de liberté de vote des 33 états qui ont dit « Yes » sur 56 possibles ?
Il faut souhaiter que très vite une BD, bon outil de communication en soi parmui d'autres, soit consacrée au mois de Novembre 1947 que beaucoup de Palestiniens patriotes semblent mal connaitre
2/ Que pensez-vous de la faisabilité de la solution : un état commun de la Méditerranée au Jourdain pour le moins ?
Jean-Marie
pour moi je vois que la magorite des films de pieces Du théatre et les bandes dessiner Refléte la réalité un autre chose Les Palestinians ne peuvent pas de parler sur leurs droits a travers de BD essayer de envoyer leurs messages
RépondreSupprimeriman
Cela ne fait aucun doute que la bande dessinée est un outil d'analyse , un outil descriptif , éducatif , pédagogique , et communicatif .
RépondreSupprimerEn effet , elle est un art à part entière parce qu'elle vous donne l'image réelle , fidèle , et évidente .
Avant tout , il faut distinguer " la " bande dessinée et " les " bandes dessinées . " La " bande dessinée est le concept , c'est-à-dire l'art et la technique permettant la réalisation de de cet art . " Les " bandes dessinées sont les médias par lesquels est véhiculé cet art .
Quant à l'influence des bandes dessinées , je pense que , de nos jours , et comme il est bien connu , la bande dessinée n'est pas seulement un outil de divertissement, mais aussi un moyen pour exprimer la réalité , un témoin de l'époque dans laquelle nous vivons .
Alors, au même titre que les divers médias , le 9ème art ( appellation désormais consacrée ) est capable de dévoiler les pratiques agressives des Israéliens , l'injustice qui pèse sur les Palestiniens , et comme on dit : " une bonne image vaut mieux qu'un long discours " .
En fin de compte , j'apprécie les efforts de tous ceux qui défendent les droits usurpés en mettant en lumière les crimes de l'occupation.
Oui ,mais…
RépondreSupprimerOui si l'auteur sait bien dire la vérité et a l'intention de la montrer telle qu'elle. Dans ce cas là ,il joue le rôle impeccable d'un militant pour le droit des Palestiniens.
Mais il faut s'en méfier, ça peut-être un outil dangereux de propagande contre les Palestiniens surtout quand il s'agit de ce qui est implicite , ce qui est "non dit" mais dessiné , dans ce cas là, l'auteur "se cache" derrière les mots mais laisse la vignette "parler" dans le but de condamner l'autre ou de donner une mauvaise image sur lui!
Enfin, les BD il en faut mais il faut également savoir distinguer le bon du mauvais!
Amal JARRAH
Professeure de FLE à Gaza
J'ai acheté et lu le premier "tome" de l'intruse
RépondreSupprimerJ'en ai presque pleuré. Quelle occasion manquée au début de faire découvrir la réalité historique très mal survolée, et même pas en BD.
On ne survole pas la période Mai 1947- Mai 1949 - quand on veut servir la cause des patriotes palestiniens
On ne peut pas se contenter de plus ou moins bien parler du présent sans évoquer avec suffisamment de précision le début du passé.
Est-ce mieux dans un des tomes suivants ?
Une BD c'est un bon moyen parmi d'autres, mais seulement si c'est solide
Jean-Marie
Pour trouver un éditeur, je pense que l'auteure a dû faire quelques concessions, en "modérant" ses propos. L'objectivité est une vue de l'esprit et aucun détail n'est anodin. Cependant, avons-nous tous les éléments en main pour intenter un procès d'intention? Après tout, un bon stratège n'est-il pas celui qui sait avancer ses pions en coupant l'herbe sous le pied de son adversaire?
SupprimerL'AFPS est pou deux états
RépondreSupprimerC'est éthiquement et juridiquement indéfendable quand on connait bien l'historique de la création de "la seule démocratie du Moyen-Orient"
En fin de BD il y a la classique erreur sur la carte du plan de partage qui dénote une lecture insuffisante.
La situation actuelle de nos amis est le fruit de ce passé et de cette ignorance
Combien des internationaux, en sus des Palestiniens n'ont jamais lu "du" Henry Cattan, donc ne peuvent pas répondre à la propagande sioniste et ne peuvent pas essayer d' "évangéliser" ou de contrer nos vecteurs d'opinions et/ou de décisions nationaux respectifs
Jean-Marie