11 avril 2013

Débat de la semaine

10 commentaires:

  1. les élèves sont les hommes du futur nous devons les aider à acquérir les principes nationaux et palestiniens ....donc leur rôle pour défendre la cause palestinienne commence dès l'étage de l'école pour grandir sur ses principes ..
    notre cause a besoin de tous les palestiniens soit des hommes; des femmes;des adultes et des enfants chacun dans son tour.

    RépondreSupprimer
  2. Je viens d’apprendre dans un très intéressant livre d’Avraham Burg (ex-président de la Knesset) « Vaincre Hitler »que, outre l’incontournable voyage scolaire à Auschwitz, il y a des cours toute l’année et une épreuve obligatoire sur la Shoah, présentée certainement d’une manière malhonnête selon leur vieille habitude

    A quand une épreuve obligatoire sur la Nakba (Mai 1946-Mai 1948) pour le bac palestinien présentée d’une manière honnête ?

    Si tous les Palestiniens scolarisés avaient été imprégnés, malgré toutes leurs graves préoccupations, de l’histoire suffisamment détaillée de cette période, et avaient « contaminés » les internationaux qui souvent n’en ont aussi qu’une connaissance très superficielle et très insuffisante pour répondre aux mensonges sionistes, il est fort probable que beaucoup de vecteurs d’opinions et/ou de décisions verraient votre drame autrement et ne soutiendraient plus, malgré leur lobby juif national, la pseudo-seule démocratie du Moyen-Orient.

    Jean-Marie
    Palestinophile

    RépondreSupprimer
  3. Chaqu'un a son role, homme ou femme , adult ou enfant. les eleves ont la responsabilite de bien connaitre l'histoire de leur pays , puisque cela aident bien sure a mieux defendre la cause palestinienne. Nos eleves sont l'avenir de notre pays. Alors, les profs aussi doivent semer dans le coeur des eleves l'amour de leur pays. parce que c'est eux qui vont continuer notre chemin pour l'independance.
    SAHAR ANAS

    RépondreSupprimer
  4. La connaissance de la langue française peut aider nos élèves à communiquer au monde extérieur une image réaliste de ce qui se passe chez nous, et à faire état des violations des droits de l'homme, des destructions et de la judaïsation de notre patrimoine historique dont nous sommes victimes.

    RépondreSupprimer
  5. Absolument oui , nos élèves sont capables de défendre la cause palestinienne , mais la question ici est : comment ?
    Premièrement, cela dépend, du degré de sensibilisation des élèves à la cause palestinienne, et du sens de la responsabilité à l'égard de cette question, qui est, essentiellement, du ressort des parents et de l'école.
    Deuxièmement, il faudrait s'appuyer sur les savoir-faire des élèves en les encourageant le plus possible à s'exprimer ( à l'école et dans les divers medias ...) ou à travers d'autres formes d'expression telles que le dessin, la poésie, les spectacles, voire même les manifestations.

    RépondreSupprimer
  6. Pour bien débattre, quelque soit le sujet, il faut être sur que nous mettons tous la même chose derrière les mêmes mots quelle que soit la langue utilisée.

    C’est quoi « la cause palestinienne » ? La ligne verte avant le 5 juin 1967 sans départ des colons ? La ligne verte avant le 5 juin 1967 avec départ des colons ? Les frontières (absurdes parce qu’« indéfendables » ) de la « résolution » 181 qui n’était qu’une recommandation, que l’ONU d’après ses propres statuts n’avait pas le droit de mettre aux voix, qui n’a recueilli que moins de 24 « yes » libres et pas les33 officiels ? La Palestine de la Méditerranée au Jourdain ? La Palestine mandataire incluant le royaume hachémite du traître à la cause palestinienne Abdullah 1er (premier) ?

    Alors qu’il n’y a pas que la question territoriale à définir.

    Quoique « L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle est approuvée par beaucoup » (Gandhi) ou que « « Ceux qui regardent le vote universel comme une garantie de la bonté des choix se font une illusion complète. » ( Alexis de Tocqueville), c’est à tous les Palestiniens , pour le moins ceux vivant dans le Moyen-Orient, de choisir ; pas aux Internationaux et autres étrangers sympathisants ou non qui ne peuvent qu’apporter des informations et éclairages éventuellement manquantes ; y compris sur la viabilité économique et environnemental (très important l’environnement pour les générations palestiniennes futures) de la Palestine de la surface voulue. Avec ou sans réparations financières, ce qui change beaucoup.

    Jean-Marie
    Palestinophile

    RépondreSupprimer
  7. Oui, ils ont un rôle à jouer pour défendre la cause palestinienne: ils sont témoins, ils ont vu les massacres de leurs propres yeux.
    A mon avis, les enfants ou les élèves sont plus honnêtes que les adultes quand ils expriment leurs émotions, ils n'ont pas besoin d'exagérer pour dire la vérité.

    RépondreSupprimer
  8. Bien sûr, nos élèves ont un rôle important à jouer pour défendre la cause palestinienne:

    Ils seront des avocats pour défendre cette noble cause, des médecins pour traiter nos blessés, des professeurs pour enseigner à leurs petits-enfants leurs droits qu'ils doivent défendre et leurs devoirs envers leur pays, des parents qui inculqueront à leurs enfants l'amour de la patrie.

    Ils seront l'avenir de la Palestine.

    RépondreSupprimer
  9. Bien sûr, les élèves ont un rôle très important pour défendre la cause palestinienne.
    Je pense qu'ils peuvent exprimer leurs opinions d'une façon plus courageuse que les adultes en organisant des sketchs, des chansons et des spectacles à l'école pendant les célébrations nationales.
    Alors, c'est notre rôle de professeurs que de leur faire connaître ce qui se passe en Palestine, et de relier les matières scolaires, surtout l'histoire de la Palestine, avec la situation actuelle.

    RépondreSupprimer
  10. Les élèves ont un rôle très important pour défendre la cause palestinienne parce qu'ils sont très sensibles à tout ce qui se passe plus que les adultes, ils voient ce qu'on ne pourra pas voir car n'ont pas de préoccupation comme nous .
    J'ai remarqué ça quand on a repris les cours après la dernière opération militaire en novembre dernier, elles avaient leurs propres analyses , elles étaient capables de lire le contexte politique autrement, j'étais émerveillée de leur réponses.

    Amal JARRAH
    Professeur de FLE à Gaza

    RépondreSupprimer

Du choc des idées jaillit la lumière!